Qu’on ne leur parle plus de « conclave » : pour les partenaires sociaux, le mot n’a, en effet, plus aucun sens. Il s’agissait de préserver syndicats et patronat des polémiques le temps qu’ils se mettent d’accord sur des pistes d’amélioration de la réforme des retraites de 2023. « Mais nos travaux ont été constamment pollués par les politiques », constate Éric Chevée, vice-président de la Confédération des petites et moyennes entreprises (CPME) chargé des affaires sociales, au terme d’une réunion, jeudi 20 mars, où les organisations de tous bords ont choisi de prendre la main sur la négociation.
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