Matteo (1) les appelle des « aftercoke ». Passé quatre heures du matin, une poignée de jeunes de Saint-Quentin (Aisne) quittent les boîtes de nuit pour se rejoindre dans des appartements privés. Qu’y font-ils ? Ces habitants, âgés de 20 à 30 ans, poursuivent leur soirée en sniffant de la cocaïne. Parmi eux, des chômeurs, des employés de l’hôpital ou de grandes entreprises de la région.
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